PLOUEZEC : Un parking n'est pas la salle d'attente d'un cabinet médical !
Destinataire : Habitants de plouézec
La mairie de Plouézec, soucieuse de maintenir une offre de soins stable et adaptée au nombre d’habitants de la commune, avait lancé un projet de maison médicale dans l’ancienne Ecole Notre-Dame du Gavel : la rénovation de ce bâtiment devait débuter en janvier 2020 avec mise à disposition fin de cette année, en tenant compte du retard occasionné par le confinement. Elle devait accueillir cinq médecins.
En attendant, deux d’entre eux, déjà installés dans la commune, avaient accepté de céder leur cabinet aux professionnels paramédicaux de Plouézec et d’aller exercer temporairement dans deux algécos situés sur le parking face au cimetière et à l’ancien Intermarché. Ce qui était acceptable pendant les beaux jours, à savoir l’attente des patients debout et en-dehors des algécos et les conditions de travail dégradées des médecins et de leur secrétaire en raison du manque de place, n’est plus supportable avec l’arrivée de l’automne et du mauvais temps.
Malheureusement, les travaux n’ont toujours pas commencé et la mairie qui avait choisi de confier ce projet à une société privée selon un montage financier préservant l’équilibre de son budget se défausse, arguant du fait que seul l’investisseur est en cause.
FAUX ! La mairie est responsable du bien-être de ses citoyens et des promesses qu’elle leur a faîtes. Elle doit offrir une offre d'accès aux soins digne et sécurisée. Comment peut-elle ignorer les conditions indignes de l’accueil des patients souvent âgés, les conditions de travail inadmissibles des professionnels de santé, au risque de faire fuir les uns et les autres vers des villes proches, précipitant par la même occasion la mort de notre bourg ?
Nous demandons à Monsieur le Maire et aux membres du Conseil Municipal de trouver dans les plus brefs délais un autre lieu d’accueil temporaire permettant aux médecins et à leur secrétaire de travailler dans des conditions normales et aux patients de pouvoir attendre à l’abri des caprices de la météo et d’exiger de l’investisseur de s’engager sur un calendrier de début (au plus tôt) et de fin des travaux.
Lettre :
La mairie de Plouézec, soucieuse de maintenir une offre de soins stable et adaptée au nombre d’habitants de la commune, avait lancé un projet de maison médicale dans l’ancienne Ecole Notre-Dame du Gavel : la rénovation de ce bâtiment devait débuter en janvier 2020 avec mise à disposition fin de cette année, en tenant compte du retard occasionné par le confinement. Elle devait accueillir cinq médecins. En attendant, deux d’entre eux, déjà installés dans la commune, avaient accepté de céder leur cabinet aux professionnels paramédicaux de Plouézec et d’aller exercer temporairement dans deux algécos situés sur le parking face au cimetière et à l’ancien Intermarché. Ce qui était acceptable pendant les beaux jours, à savoir l’attente des patients debout et en-dehors des algécos et les conditions de travail dégradées des médecins et de leur secrétaire en raison du manque de place, n’est plus supportable avec l’arrivée de l’automne et du mauvais temps. Malheureusement, les travaux n’ont toujours pas commencé et la mairie qui avait choisi de confier ce projet à une société privée selon un montage financier préservant l’équilibre de son budget se défausse, arguant du fait que seul l’investisseur est en cause. FAUX ! La mairie est responsable du bien-être de ses citoyens et des promesses qu’elle leur a faîtes. Elle doit offrir une offre d'accès aux soins digne et sécurisée. Comment peut-elle ignorer les conditions indignes de l’accueil des patients souvent âgés, les conditions de travail inadmissibles des professionnels de santé, au risque de faire fuir les uns et les autres vers des villes proches, précipitant par la même occasion la mort de notre bourg ? Nous demandons à Monsieur le Maire et aux membres du Conseil Municipal de trouver dans les plus brefs délais un autre lieu d’accueil temporaire permettant aux médecins et à leur secrétaire de travailler dans des conditions normales et aux patients de pouvoir attendre à l’abri des caprices de la météo et d’exiger de l’investisseur de s’engager sur un calendrier de début (au plus tôt) et de fin des travaux.
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